Une tradition de confiance entre culture et foi

Une dimension en plus !

Parce que la vie d’un être humain ne se résume pas à la somme de ses activités ni à son niveau de consommation, la dimension spirituelle fait partie de la formation intégrale donnée à nos élèves et qui fait partie du Projet éducatif.
Connaître le christianisme, non seulement en tant que patrimoine culturel et historique, mais aussi comme source de repères pour des questions personnelles et collectives, c’est entrer dans un dialogue entre la culture et la foi.
Vivre la foi chrétienne comme une proposition de chemin intérieur faite en Eglise, c’est rencontrer le Christ et vivre de sa présence.

S’ouvrir à la connaissance dans nos Ecoles maternelles et primaires

« Comment ne pas te louer ? »
Effectivement comment ne pas louer le Seigneur quand on voit ce qu’il fait pour nous, ce que l’on vit chaque jour grâce à lui.
C’est par cette phrase que nous accompagnons les enfants dans leur cheminement de foi. Baptisé ou non, nous aidons les jeunes à vivre cette rencontre :

• Avec Dieu, afin qu’il devienne un exemple, un pilier, un ami au quotidien. Dieu leurs permettra d’accueillir la vie positivement, de trouver des solutions aux problèmes par la prière, de lui remettre leurs questionnements, de se confier, de prendre confiance en eux.
• Nous souhaitons que les enfants se sentent soutenus dans leur démarche de vie Chrétienne, qu’ils ressentent la chaleur et la puissance d’une communauté qui les entourent.
• Les séances de catéchisme se construisent autour de préparations aux sacrements, de lectures, de chants, d’activités, de groupes de paroles, de participation aux messes. Les jeunes sont acteurs de leur foi et nous souhaitons qu’avec Dieu la religion soit un quotidien.

Tout au long de l’année, nous (re) découvrirons :

• les fêtes liturgiques
• les grandes étapes de la vie de Jésus
• la Bible et ses principaux personnages

Fonder sa réflexion dans nos Lycées

Une heure hebdomadaire d’Anthropologie et Pensée chrétienne (APC), pour tous les élèves.

Notre société est traversée par des anthropologies différentes selon la place laissée à l’homme. Cette heure se veut l’occasion d’offrir aux élèves un temps de réflexion sur le sens de la vie humaine en faisant appel aux ressources de la pensée chrétienne et contemporaine. Il s’agit d’un parcours sur trois années qui cherche à traiter de la question de l’Homme dans toutes ses dimensions (sensibilité, intelligence, volonté) afin de mieux comprendre les enjeux et les défis humains d’aujourd’hui et de demain.

Les thématiques du Parcours sont organisées ainsi :

•  en 2nde : L'anthropologie : vers une définition de l'être humain
  Puis-je devenir ce que je suis ou ce que j'ai envie d'être ?
  Y a-t-il un ordre dans la nature qui me donne ma place ?
  Suis-je une créature recevant son existence d'un autre ou suis-je mon origine ?

• en 1ère : Moi et autrui
  Qui suis-je ? L'être humain cherche à se connaître : quelles figures a-t-il de lui-même qui imprimeront sa manière de vivre ?
  Qui est autrui ? Quand commence-t-il et quand finit-il ? Comment vivre avec lui ? Peut-il être un non-humain : la nature ? un animal ? un robot ? Dieu ?

• en Terminale : La vérité et la fin du temps
  Qu'est-ce que la vérité ? Où la trouver ? Peut-on la manipuler ? Est-elle universelle ? La vérité est à dire, mais aussi à faire : vérité et charité.
  Quelle est la fin du temps : une limite, un sens ? Agit-on par peur ou par espérance ? Au-delà des limites : l'environnement : une terre à sauver ? la vie humaine : un vivant à bricoler ? l'intelligence artificielle : un esprit à façonner ?
  Homme, qui suis-je : matière ou destiné à l'éternité ?

les " pauses spi "

Les pauses spirituelles sont un temps proposé à chaque niveau de classe.
C’est l’occasion pour l’élève d’enrichir sa vie de prière en allant à la rencontre d’autres chrétiens.

Préparation aux sacrements

A tout âge, à tout moment de la scolarité, un élève ou un adulte (parents, enseignants, personnel…) peut demander à être baptisé, à faire sa première communion, à recevoir la Confirmation.

Thomas d’Aquin, un saint patron inspirant

De famille noble, Thomas d’Aquin naît au château de Roccasecca près de Naples. Il reçoit sa formation chez les bénédictins du Mont Cassin, puis à l’université de Naples. Il étudie la philosophie d’Aristote. En 1243-1244, il entre dans l’ordre dominicain contre l’avis de sa famille. Il complète sa formation théologique et philosophique à Paris (1245-1248) puis à Cologne (1248-1252) sous la direction d’Albert le Grand. Cet européen du XIIIe siècle parcourt plus de 11 000 km à pied.